Ses collines de rhyolite orangées, couvertes de névé, seulement troublées par la fumée des solfatares, nous apparaissent comme un immense terrain de jeu, brut, sauvage, irréel et surdimensionné. On se frotte les yeux, tant on a peine à croire que le paysage qui se déploie devant nous existe bel et bien. On dirait une peinture, avec sa palette d’ocres, de rouges, de verts, de blancs…